"Leçons d'Esthétique" de Georg Wilhelm Friedrich Hegel Commentaire de Texte
"Leçons d'Esthétique" de Georg Wilhelm Friedrich Hegel
Commentaire d'un extrait du livre "Leçons d'Esthétique" de Hegel portant sur la signification de la conscience en tant que conscience de soi. (pdf)
№ 26505
| 1,640 mots
| 0 sources
| 2011
|

Publié
le oct. 05, 2011
in
Philosophie
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Résumé:
L'extrait étudié, se trouvant dans le document, va de "Les choses de la nature se contentent d'être..." à "...cette sorte de reproduction de soi qu'est une œuvre d'art".
Dans cet extrait des Leçons d'Esthétique, Hegel réfléchit sur la signification de la conscience en tant qu'elle se porte vers l'homme lui-même, c'est-à-dire en tant que conscience de soi. C'est par opposition avec les choses de la nature que cette conscience se révélera et que nous pourrons en faire la description, mais elle ne trouvera sa véritable définition qu'au cours d'une réflexion sur la façon dont elle s'acquière qui, pour Hegel, repose sur le théorique, mais aussi le pratique. C'est sur ce dernier point que Hegel formule une thèse originale en regardant la conscience du point de vue de l'action et pas uniquement du point de vue de la pensée. Alors que Descartes réduit la conscience à l'intériorité du sujet pensant, Hegel l'ouvre au monde de l'extériorité qui la constitue, mais qu'elle constitue aussi en retour.
1. L'homme comme être conscient
2. La double acquisition de la conscience de soi
3. De la conscience de soi comme créateur
Extrait du document:
Hegel réduit : « se contentent », « ne sont qu'une fois », le mode d'être des choses de la nature, en marquant l'insuffisance de ces êtres, insuffisance d'abord constitutive, liée à leur nature : elles sont « simples ». Cette pauvreté désigne non une qualité mais un défaut, un manque de réflexion. Ce manque existe parce que les choses de la nature ne sont pas composées, doubles ; elles sont simples, elles ne sont que de simples substances. Leur être est tout entier corps, matière et comme toute matière, leur être est statique, passif, « se contentant » d'être. Simples en elles-mêmes, elles « ne sont qu'une fois ». C'est là que se situe le passage du plan de l'intériorité ou de la nature au plan de l'extériorité ou de l'existence. La simplicité de leur nature les détermine à une existence unique, unité qui n'est pas valorisée mais qui désigne le mode d'être de « l'en soi », le mode passif du simple « il y a ».
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